Le village de Bel-Air
Bél-Air est un petit village situé dans les hauteurs quartier de Bois de Nèfles, faisant !
- Le case Bél-Air
BALADE, HISTOIRE, DÉCOUVERTE.
Le village de Bél-Air et son historique.
Bél-Air, Avec son historique.
Bél-Air est un petit village situé dans les hauteurs du quartier de Bois de Nèfles, faisant partie de la commune de Saint-Paul.
Le nom Bél-Air est mentionné dans plusieurs communes de l’île, on trouve Bél-Air à Sainte-Suzanne et Saint-Joseph. On peut également trouver le nom Bél-Air, qui désigne un quartier dans les bois de Vincennes, en France. Le quartier de Bél-Air en France englobe une portion du Bois de Vincennes et se trouve dans le 12e arrondissement de Paris.
- Bél-Air dans son interprétation Bél-Air ce nom.
Bél-Air Est décrire comme une zone particulière qui est considérée comme ayant un air frais et agréable.
Ils sont généralement situés sur des collines, ce qui les positionne favorablement pour profiter des brises fraîches, avec belle vue sur un pâturage, un espace où on trouve des troupeaux.
C’est ce qui a donné le nom du village situé dans les hauteurs du secteur Bois de Nèfles à Saint-Paul, d’où on détenait les premiers pâturages des bétail beauf et cabri, lorsque le village verra ces premiers Terriens s’installer sur le secteur, en la personne de la famille des FURCY.
- Historiquement
Bél-Air est un petit village au riche passé historique, dont l’histoire est aujourd’hui peu familière, débutant avec son occupation entre 1663 et 1671.
Ces élévations ont suscité des convoitises en raison des ressources qu’elles recèlent, et elles favoriseront l’aménagement d’un sentier à long terme. Ces sentiers reliant le moulin à eau au piton des Orangers traversent le village, allant du bas vers le haut.
Histoire.
Au début du 18e siècle, Bél-Air était un petit village d’ouvriers esclaves, servant les propriétaires terriens qui s’étaient établis dans la région vers 1700.
Certains de ces ouvriers ayant vécu dans le village ont laissé derrière eux des signatures à des point repères, représentées par leurs noms, qui offrent des aperçus sur le littoral.
Parmi les repères que l’on peut mentionner, il y a le piton C7, le piton Samy, le piton Siméon et le contour pas Cyrille, Ainsi que bien d’autres qu’il est impossible de citer en totalité. Ces noms qui étaient très connus jusqu’au milieu du 20e siècle, notamment dans les années 1980.
- La plantation au village.
Entre le 18e et la fin du 20e siècle, le village produit une variété de cultures, telles que le conflore, le poids, le maïs, la muscade, le pistache, la tomate et le voeme. Toute culture vise à répondre aux besoins quotidiens de la vie.
Aux 18e et 19e siècles, le village se consacrait également à la culture des vétivers, principalement pour sa paille, utilisée pour recouvrir les maisons.
L’exploitation de ces hauteurs était non seulement très pratique, mais également utilisée pour le Bois, qui servait à la construire des maisons, ainsi que pour les calumets, exploités pour les cloisons de maison.
Au milieu du 20e siècle, le village de Bél-Air était riche en ressources, pour ces source l’eau potable ce qui a aidé les familles et les travailleurs esclaves à surmonter des moments difficiles, comme le piton calebasse, la source FURCY, et la source Mme LEBON.
- La culture géranium.
En 1870, une plante originaire d’ailleurs, nommée le géranium, fait son apparition sur l’île.
Lorsque le géranium arrive sur l’île, le village de Bél-Air découvrira son premier champ du géranium exploité. Le premier champ de géraniums sera établi au cœur du village au piton de Bél-Air, vers 1880, d’où le lieu où le village va tirer son nom.
Ensuite, le géranium, elle s’étendra jusqu’à atteindre dans les grandes profondeurs, en hauteur, jusqu’à la ligne des domaines de 18 cents.
Le géranium sera exploité jusqu’à sur le site îlet-Alcipe, lorsque Alcipe effectuera son passage sur le plateau entre 1919 et 1944.
LES TRACES HISTORIQUE.
Autrefois, le seul moyen d’atteindre le village était de marcher à pied, plusieurs sentier permettaient d’y accéder, les trois principaux étant les plus empruntés. En amont sud, le passage au CHENE, et en amont Est le sentier en pente GAZOGUE. Et l’axe principal, le chemin nommé FURCY,
- FURCY de 1793.
FURCY, était celui d’un Terrien du village qui possédait plusieurs esclaves à son actif.
FURCY était un habitant qui tirait profit d’une vaste portion propriété du village, s’étendant du bas de la montagne du cote CHEMIN MACES, allant jusqu’au sommet, incluant le piton des Orangers bordure cirque de MAFATE, où se situe au bout sentier du même nom.
LE PLUS VIEUX SENTIER.
Le Sentier FURCY est considéré comme l’un des vieux sentiers de la zone de Bois de Nèfles. Le Sentier FURCY, elle reliait le moulin à eau au chemin tour des Roches font jardin au sentier des Remparts, montant le village de Mace et grimpant vers la montagne au cœur du village de Bél-Air, bordent à la stèle bondie du village de Saint-expédié, puis monté jusqu’au piton des Orangers, et poursuivant a l’époque son chemin jusqu’à l’ancienne croix du MAÏDO.
LES PERSONNAGE HISTORIQUE.
Le village de Bél-Air, abrite des personnes qui sont des protagonistes importants dans l’histoire historique du secteur de Bois de Nèfles.
Le village Bél-Air, abritait le villageois nommés Louis Émile Mulot, qui a laissé son emprunt son nom sur le sentier dans la forêt des Hauts, dans le secteur des forêts de Bois de Nèfles, situé au chemin forestier des cryptomérias, connu sous le nom de Sentier Louis Émile.
- SENTIER FURCY.
On rencontre au le personnage ALEXIS FURCY, qui habiter le village dans le période 1793, fils de Jean-Baptiste Parfait, le maître de plusieurs esclaves, qui a par la suite donné son nom au sentier sous le nom de son fils Furcy, qui est devenu un chemin de charrette par la suite il est maintenant bétonné aujourd’hui, et qui est relier au chemin duvernais.
Ensuite, nous rencontrons Alcipe Vincent, originaire de Salazie, qui s’établit dans le village en 1923, ou il y passera le reste de sa vie, qui vont laissant également son empreinte sur le sentier de balade histoire et découverte, situé dans les hauteurs du secteur de Bois de Nèfles, connu sous le nom de sentier îlet-Alcipe ou la boucle îlet-Alcipe.
LES RESSOURCE DU VILLAGE AUTRE FOIS.
Le village de Bél-Air, possédait des ressources présentes dans ces hauteurs, a réellement aidé les habitants venant d’autres régions à surmonter les périodes difficiles après leur installation dans ce secteur.
Les ressources présentes dans les hauteurs du village de Bél-Air ont permis de conserver de nombreux noms de sentiers qui servait pour relier les hauteurs, liés aux habitants qui se sont installés dans la région, où l’on trouve les sentiers FURCY, BOSSE, BORGIA, le sentier LEBRETON, FRANCIA et FRANÇOISE, puis le sentier Clemont en amont SUD, ravine LA FORGE.
RÉSUMER.
Le village de Bél-Air possède une histoire riche, mais elle demeure peu connue et mal exploitée et mal décrite.
Ce qui est présenté ici concerne une description relative à un travail bénévole. Bien que nous disposions d’autres descriptions fascinantes sur l’histoire du marronnage dans ce domaine, il est essentiel de soutenir tous ces projets pour continuer à explorer davantage. Nous vous encourageons à nous apporter votre soutien en effectuant un don en cliquant sur le bouton contribuer.
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Dans une prochaine description, nous traiterons d’autre volet autour l’histoire du village de la période 20e siècle.